Les murs se préparent
Je viens d’arriver à mon ancienne adresse dans l’Hérault. Devant nous, quatre jours pour transformer l’appartement en espace d’exposition. Alors que la rénovation a commencé il y a plus de 15 ans, elle ne sera pas achevée par mes soins. Si quelques retouches seront faites d’ici samedi, cela restera difficilement comparable à l’ampleur des forces mises au service du nouveau chantier à quelque 600 km de là.
En Charente Maritime, la pièce qui deviendra mon bureau et l’entrée de l’espace d’exposition, a connu de grandes transformations au début des opérations :







Fins attendues
Je me souviens de la peur, de l’angoisse ressentie en rédigeant l’article du début de l’année, à cause de la triste certitude qu’il y aurait beaucoup de mortEs et de blesséEs avant que les situations puissent changer en mieux. Les semaines passent et démontrent encore et encore la pertinence du concept de nécropolitique pour éclairer les ressorts à l’œuvre. Des pancartes qui jettent une lumière éblouissante sur les faits me viennent en tête : « l’état nous préfère mortEs » dans les mobilisations contre le SIDA, ou « We’re not trying to start a race war, we’re trying to end one » sur une photo prise aux USA récemment.
Je me réjouis que les luttes anti-racistes et contre les violences policières en France trouvent enfin une chambre d’écho d’une nouvelle ampleur. Voir les images de foules rassemblées devant les tribunaux à Paris, Montpellier et ailleurs fait chaud au cœur. J’ai souvenir d’avoir scandé en chœur « la police fait son travail, ça crève les yeux » au sein d’un cortège bien moins nombreux dans les rues de la préfecture héraultaise.
De Râlachatte à Sortir de l’hétérosexualité, il n’y a qu’une semaine
Lundi dernier, je me remettais péniblement du festival aveyronnais durant lequel deux personnages mythologiques, et un cœur sur pattes, ont pris corps en papier sous une centaine de doigts :
Je remercie l’amie Sarah de les avoir prises en photo car je n’ai pas eu l’énergie de le faire entre le moment où je me suis enfin lavé les mains et celui où la nuit est tombée sur le site.
La rentrée se prépare
Pendant que l’exposition au vieux château de Montbron se poursuit, malgré les efforts consentis sur le travail administratif, je sais maintenant que je ne disposerai pas de plein droit de mon nouveau lieu de stockage lorsqu’il faudra décrocher le 26 août. En effet, il y a quelques mois déjà, j’ai intitulé un article Un foyer en mouvement. Ce titre pouvait faire sens vis à vis de ce que j’y annonçais, il fait d’autant plus sens pour ce que je n’y dévoilais pas : un projet de déménagement. Et c’est en Charente Maritime que j’installerai mon atelier au fil des années à venir, le lieu où nous allons nous établir réclame une lourde rénovation je ne pourrai donc y travailler confortablement de sitôt, ce qui ne me changera pas beaucoup de la situation actuelle. (suite…)
Des histoires de monts
Le festival de la Sculpture de Montauban est entré dans sa dernière semaine. Plus que quelques jours pour profiter des différents lieux d’exposition et de la variété des œuvres qui y sont installées : (suite…)
Bla bla bla
Ce jeudi, je serai à Marseille à l’invitation de Roxanne Maillet & Auriane Preud’homme, l’équipe derrière la revue Phylactère à paraître en fin d’année. Je suis raviE des premières questions qu’elles m’ont adressées à propos de mon travail sur la langue au sein de Foyer, toutes profondes et inédites. Rendez-vous au Rond-point project, de 15h à 18h. (suite…)
Un foyer en mouvement
L’article du mois dernier évoquait la diffusion de l’édition des Cyprinettes à laquelle j’étais invitéE pour parler de mon roman. Depuis, mon éditrice et moi-même avons remonté la vallée de l’Hérault pour présenter le livre à la librairie zéro de conduite à Ganges. Si vous avez l’occasion de passer par là, je vous recommande de passer la porte, j’ai été séduitE par leur fonds.
Gender Unbound a étendu la période de réception des propositions pour sa prochaine édition. J’ai envoyé la mienne sans attendre. Voici donc les dernières nées de la série Corpays :
(fin de) convalescence
Mardi dernier, mon éditrice m’a conduitE à Millau pour participer à l’enregistrement des Cyprinettes, l’émission féministe de Radio Larzac. La diffusion aura lieu jeudi 28 à 19h, rediffusion le lundi suivant à 10h et le son sera disponible sur le site de la radio dans la foulée. J’y étais invitéE pour parler de Foyer.
Je n’ai pas pu y aller seulE car la veille, j’ai été victime d’un petit accident de la circulation rendant l’usage de la pédale de gauche particulièrement douloureuse. Plus de peur que de mal compte tenu du poids du véhicule qui est passé sur mon pied. J’en suis donc revenuE à un repos quasi complet, y compris pour mes membres supérieurs, pendant quelques jours. Et ce fût bien utile pour parfaire la cicatrisation de la dernière zone nécessitant un pansement. Je devrais être libéréE des sparadraps d’ici la fin de la semaine. De là, j’aurai 4 semaines pour produire une nouvelle proposition à l’attention de l’équipe de Gender Unbound qui avait retenu une sélection issue de la série Corpays avant qu’elle compte près de 50 montages. (suite…)
Serait-ce déjà le printemps ?
Hier, j’ai appris ma sélection pour le Festival de la Sculpture de Montauban. Aujourd’hui, c’est le dernier jour des expositions de Corpays et Tentative d’évasion dans les centres Paris anim’ Villiot et Bercy.
Une réédition et des inédits
Avec un peu de retard, le n°5 de GLAD!, revue sur le langage, le genre, les sexualités, est sorti ces dernières semaines. Je suis honoréE de figurer au sommaire, et peut-être en particulier au côté du collectif RER Q. J’espère que cette réédition de ma première nouvelle publiée est de bon augure pour la période d’écriture qui approche.
Une fin en manque de moyen
L’exposition de Tentative d’évasion à Villars s’est achevée il y a quelques jours. En voici un aperçu :
Un vernissage pour les premières neiges ou inversement
Après 7h30 de trajet au lieu de 5, l’accrochage a pu commencer.
Il s’est interrompu précipitamment en fin d’après-midi devant la neige qui recommençait à tenir sur les routes qui nous séparaient encore de l’appartement des amiEs qui nous hébergent dans la région.
Le travail reprendra dans la matinée, l’exposition sera prête à l’ouverture de la médiathèque à 14h, comme le sera le buffet pour le vernissage à 18h, rendez-vous ce soir ! (suite…)
Genderqueer artist
Ce week-end se tenait Gender Unbound Art festival. Une quatrième image issue de Corpays a été sollicitée pour ajouter aux trois déjà sélectionnées. J’ai été très touchéE que les organisateurices prêtent autant d’attention à mon travail et qu’il leur évoque tant de choses qu’iels s’appliquent ainsi à en donner à voir autant que possible.
J’ai regardé avec envie les images des autres événements, plus familiers, auxquels je n’ai pas pris part cette année. Avec envie parce que ces espaces-temps ne sont pas seulement stimulants, ils sont aussi ressourçants, réconfortants. Et dans le climat politique actuel, ces occasions de se retrouver dans un cadre collectif un minimum féministe, antiraciste et queer, cela représente une opportunité de respirer un plus amplement. Quand l’actualité me fait trop souvent suffoquer, l’envie se mue en besoin.
Je suis donc raviE de participer à la célébration du premier anniversaire de Sibylles – Salon de Tatouages Bienveillant & Salon de Thé Pétillant avec Corpays. Cela se passera sur l’I.BOAT le 17 octobre au soir, toutes les infos sur les réjouissance sur l’événement facebook : Strongirls than yesterday.
Je m’y rendrai dans la foulée de mon déplacement à Paris pour prendre part à la 22e Existrans, la marche des personnes trans et intersexes et de celles qui les soutiennent, aura lieu le samedi 13 octobre 2018 à 14h, départ Place de la Bataille de Stalingrad.
Accélération printanière
Ce n’est pas la première fois que cela m’arrive, je reste tout de même une nouvelle fois sur les rotules.
Il y a une quinzaine de jours, j’étais donc au Pavillon des Canaux pour Paris is Reading :
Lentement mais sûrement
Un mois s’est écoulé depuis le dernier article publié ici. Puisque je ne m’y tiens décidément pas, je vais arrêter de vous souhaiter une bonne quinzaine en bas de page.
La préparation de l’expo automnale annoncée début mars a commencé :
Les vacances des autres
Ce lundi matin, jour de marché dans la petite ville que j’habite, le bruit de la circulation emplit l’espace. Les moments de calme complet sont plus rares les autres jours aussi. L’agitation liée à l’affluence est arrivée jusque dans ma maison. Ici, les présences sont choisies et chéries, je prends très au sérieux mon rôle de guide touristique. J’ai ainsi délaissé l’atelier et les pistes qui ont émergé dans la frénésie des derniers préparatifs de l’exposition de juillet. Cette dernière n’avait pas pas fini de faire son effet : une nouvelle pièce va entrer en collection privée : (suite…)
Décrocher, deposer
L’exposition au Centre Ulysse s’achevait jeudi 13. Je n’ai pas eu à ranger toutes les pièces décrochées, voici celles qui sont entrées dans des collections privées, comme on dit :
Les dés sont jetés
Une semaine de relations difficiles avec Morphée s’achève, en tout cas, je l’espère. Car il en faut de l’énergie pour continuer à mener des projets dont on espère encore qu’ils participent à une transformation sociale.
Samedi s’ouvrait la 4e édition des Imprévus au Village de Saint Gervais sur Mare. J’ai eu beaucoup de mal à me concentrer ne serait-ce qu’un minimum sur la préparation de cet événement. Je me suis d’abord atteléE à la fabrication de boîtes lumineuses pour enfin présenter quelques pièces de la série Lumière. InsatisfaitE, j’ai repris d’autres pièces, elles aussi sur papier mais dans un tout autre style : (suite…)
De belles soirées
Même si mercredi dernier s’est achevée la série de rencontres Transversales des Moulins de Faugères, et que j’écris cet article sous un ciel pluvieux, l’été n’est pas encore fini.
Pour avoir une idée de ce que donnait la projection :
ça, c’est fait
Je suis soulagéE qu’un certain nombre d’événements soient derrière moi. J’ai bien besoin de repos après tout ça.
J’ai pu achever une pièce de plus pour l’exposition à la MJC de Carpentras, la voici en détails :
La journée du vendredi 8 a été éprouvante. Il m’a fallu charger, me rendre sur place, décharger, monter les pièces acheminées en pièces détachées, accrocher ce qui devait l’être, disposer les sculptures et les éléments de texte pouvant éclairer la visite et enfin après tous ces efforts dans une salle surchauffée, me rendre présentable pour le vernissage. Heureusement que ma compagne était là pour m’aider à l’accrochage, je n’aurais peut-être pas tenu le timing sans son soutien. D’autant qu’à l’origine, il m’aurait fallu prépare le buffet en plus du reste. Merci à l’entreprise mécène et aux membres de la MJC qui m’ont épargné cette tâche.
Pour vous donner une idée plus générale de tout ça :
Ma première exposition au sein des Créatrices et Créateurs du Caroux au Canal du Midi s’est achevée samedi. Dimanche nous nous sommes réuni-e-s après le décrochage pour faire le bilan de l’événement, puis discuter des perspective pour cette nouvelle année 2016. Plusieurs projets se profilent, je file d’ailleurs ce matin pour un rendez-vous qui verra la validation de l’un d’entre eux.
Bonne semaine !
Joie !
Des événements surviennent et assombrissent mes pensées. Heureusement, la lumière revient, les jours rallongent (dans l’hémisphère Nord). Et mon agenda ne me laisse pas le temps de soupirer et désespérer.
L’année 2016 commence sur la lancée de 2015.
Alors que j’écris cet article s’ouvre la dernière exposition de Liberté, expressions d’artistes après près d’un an d’itinérance en Aquitaine. Le vernissage aura lieu ce jeudi. Je ne pourrai y être, mais si vous êtes dans le Bordelais, l’espace Saint Rémi vous tend les bras.
Vendredi, je serai bien présente en revanche à ce vernissage :
Ce sera la dernière exposition publique de la pièce représentée dans cette invitation puisqu’elle rejoindra une collection privée après le décrochage. La préparation de cette exposition m’a donné quelque souci puisque j’ai un peu manqué de temps pour faire les réparations nécessaires sur les pièces qui avaient souffert du déplacement automnal en Bretagne. Je tenais aussi à pouvoir présenter de nouvelles pièces. Je ne suis pas encore sûre de pouvoir le faire dans une mesure qui me satisfasse. Il y a aura cependant beaucoup de pièces à voir ou revoir sur des murs aux couleurs inédites pour mes œuvres. J’ajoute que quelques sculptures seront de la fête puisque la MJC de Carpentras est dotée de vitrines hospitalières pour mes petites pièces.
Ce qui m’a tenuE trop occupéE pour avancer sur de nouvelles pièces, c’est l’exposition collective bédaricienne qui se poursuit jusqu’à samedi. Il faudra décrocher dimanche.
Avec pareil emploi du temps, j’ai l’impression de jouer à tétris avec les plages horaires. Voici donc de nouvelles photos à la rubrique Géométries :
Bonne semaine, et bonne année !
Deuxième semaine
La semaine dernière a donc commencé pour moi avec l’ouverture au public de notre exposition à l’Espace d’Art Contemporain de Bédarieux. Le vernissage fut un moment peut-être particulièrement émouvant pour moi car j’étais chargéE de parler au nom du collectif. L’adjoint à la culture s’est exprimé tout d’abord, disant sa satisfaction quant à la qualité des œuvres présentées et proposant que d’autres membres actiVEs de l’association puissent investir les lieux l’année prochaine. Nous ne nous attendions pas à cette annonce. C’est un coup de pouce important puisque le lieu fait envie à la plupart des créatrices et créateurs du territoire et que nous cherchons à recenser et peut-être fédérer plus largement.
Pour avoir une idée de l’affluence :
D’autres images du vernissage sont disponibles à cette adresse.
Ce moment étant passé, je peux partager une image plus nette de ma contribution :
Pour un aperçu de l’intégralité de l’exposition, suivre ce lien.
Les mercredis, on peut me voir travailler sur place. Mes camarades offrent aussi des démonstrations et ateliers presque chaque jour d’ouverture tant que nous les assurons : jusqu’à ce samedi.
Ce matin, je ne fais pas l’ouverture, je suis au loin pour récupérer des pièces laissées en Bretagne et pressenties pour ma prochaine exposition à Carpentras puisque le lieu qui m’accueille est équipé de vitrines. Peut-être y montrerai-je plutôt les miniatures rapportées d’Helsinki, je ne sais encore.
Repassant par l’Ouest, j’ai repris le traitement des images capturées ici, s’y mêlent aussi des photos prises en Finlande à retrouver à la rubrique Fouillis végétal :
Bonne semaine !
à l’Espace d’Art Contemporain de Bédarieux
Je suis tellement soulagéE que l’accrochage soit passé et bien passé que j’en oublie les maux de dos du début de la semaine dernière. Même si je suis assez contentE de l’installation de mes pièces (oui la photo est de mauvaise qualité, c’est presque fait exprès pour ne pas trop dévoiler les choses alors que l’ouverture officielle n’a pas encore eu lieu), ma satisfaction est surtout liée à la façon dont la journée s’est déroulée. C’est la première fois que j’expose au sein de l’association des Créatrices et Créateurs du Caroux au Canal du Midi. 18 exposantEs, dans un lieu encore rarement ouvert aux modestes artistes travaillant alentour, avec aussi quelques différends entendus dans des temps de préparation, optimiste comme je suis, je redoutais cette journée.
La tension est d’abord retombée rassuréE en voyant que mes pièces prenaient une tournure satisfaisante dès mardi. J’ai pu avoir d’autres occupations… le jour durant. J’ai apporté bien des retouches tant le stress des préparatifs n’avait fini de me quitter. Oui, jusque dans la nuit de samedi à dimanche. Cette dernière insomnie a été l’occasion de préparer aussi du petit matériel utile à tout le monde, et de quoi confectionner un rideau pour abriter les peintures de grand format de l’exposition qui se terminait la veille de notre accrochage.
C’était très important pour moi de parvenir à faire autre chose que préparer mes prochaines expos, de faire en dehors de la pression de la date butoir. J’ai écrit quelques nouvelles pages du projet en cours depuis quelques années. En parler publiquement la semaine passée m’a peut-être mis le même genre de pression en fait. Mais ça m’a fait très plaisir de m’y remettre avec à la fois un recul et en même temps cet élan venant des encouragements reçus et de ce que les échanges ont pu éclairer sur l’organisation de la narration afin de facilité l’accès aux parties écrites dans des français modifiés.
Je fais ma mise à jour dès ce soir car demain, la journée est chargée. On ouvre l’expo à 9h30, il y a des performances prévues, et comme c’est jour de marché, je vais essayer d’aller tracter pour inviter au vernissage du soir.
Puis il faudra aller cuisiner, se changer et se préparer à prendre la parole au nom des CCCCM à la demande de ma camarade qui s’y est collée la fois précédente. J’ai commencé par ne pas y voir d’inconvénient, rédigeant rapidement un discours de circonstance. Ce soir je me rends compte de l’effort de cloisonnement intérieur qu’il va me falloir fournir pour formuler certains des remerciements d’usage.
Si vous voulez me voir sur place plus au calme, j’y serai souvent, en particulier les mercredis après-midi, ce 23 décembre, je modèlerai une nouvelle Ninouche.
Pour aller avec mon esprit du moment semble-t-il, voici quelques nouvelles images à la rubrique Escaliers :
Bonne semaine !
Retour de rein
La semaine a été riche en émotions comme je l’avais annoncé.
Je remercie à nouveau la librairie Violette and Co pour son accueil chaleureux qui m’a permis de trouver assez de calme pour que mes tremblements ne soient pas perceptibles dans ma voix, m’a-t-on dit. J’étais pourtant impressionnéE de me tenir là, devant plusieurs dizaines de personnes attentives.
Je me suis retrouvéE à parler à plusieurs reprises de mon projet laissé au tiroir depuis longtemps. Celui dont des bribes ont pourtant été partagées par ici. J’espère qu’en 2016 j’aurai des moments assez calmes pour m’y remettre.
Jeudi, je suis alléE voir une proche jouer dans On s’en fout que ce soit beau. Même si je me suis retrouvéE sur scène renvoyéE à une assignation enrobée d’essentialisme, comme je ne me suis pas privéE de faire la grimace à ce propos et que pendant que je saisissais la main tendue avant d’entendre l’invitation à « Madame », on m’a rapporté que derrière moi, on a pu entendre « Mais nan, c’est un Monsieur ! », j’en garde un souvenir rigolard.
Vendredi soir, il y avait une soirée autour des éditions Des ailes sur un tracteur. Le lieu en a été changé tardivement car celui prévu à l’origine s’est vu frappé d’une fermeture administrative la veille. L’affluence était donc toute relative, j’en ai donc profité pour faire connaissance avec des personnes que je ne connaissais que de nom ou seulement numériquement jusque là.
Samedi nous avons pris la route vers le Sud, la voiture à nouveau pleine. Et il a fallu décharger en arrivant.
Dimanche, à part la sortie civique, ce fut donc une journée de repos.
Ce n’est que ce matin que j’ai repris mon travail pour l’exposition qui approche. Voici ce que cela donne à présent :
On est plus proche de la sphère. J’y ai passé plusieurs heures et mes lombaires s’en souviennent assez pour que leur dédicace ce billet.
Avec les modifications apportée, il me reste pas mal de retouches à faire. Je suis aussi tentéE d’en faire une seconde avec les éléments retranchés. Je n’ai que quelques jours pour achever les différentes pièces puisque l’accrochage se fait ce dimanche. Vernissage lundi 21 au soir !
Alors que je me prépare un peu en catastrophe pour ma toute prochaine expo, je vois que je suis attenduE de pied ferme pour la suivante : Exposition à la MJC de Carpentras.
En cherchant ce qui se tramait pour la suite, je suis aussi tombéE sur un billet qui m’avait échappé sur le site de Jérôme Ragot. Cela me fait penser au rencontres qui font chaud au coeur. Pendant que j’étais à Paris, j’ai revu une artiste rencontrée durant ma résidence à Helsinki cet été. Elle est à sont out en résidence en France au CAMAC. Si vous avez l’occasion d’y passer avant le fin de sa résidence, je vous y encourage.
Les nouvelles Photos de la semaine sont pour la rubrique Perspectives :
Bonne semaine !